Nayeli... Il y a pas plus gentille et plus simple que Nayali. C'est une jeune fille souriante et qui se montre toujours de bonnes humeurs malgré un passé difficile et une tristesse encré dans son âme. Elle fait passer ses soucis après ceux des autres et s'inquiète toujours pour les gens. C'est le genre de personne qui s'arrête dans la rue distribué des boissons chaudes et de quoi manger à des sans abbris. Nayeli qui veut dire je t'aime à un grand coeur et à sur toucher les gens par la pureté de ses actes et de son âme à tel point que même les anges en sont intrigués... elle a comme un pouvoir magique il suffit d'être en contact avec elle pour pouvoir voir que la vie peut-être belle entouré de personnes qui font attention à nous comme elle, elle le fait. Mais d'autre utiliseront sa naïveté à leurs effligie... on ne peux pas plaire à tout le monde malheureusement!

Une naissance, une vie, un avenir...

Je n'ai jamais vraiment été une fille difficile, déjà bébé je faisais mes nuits complète quand ma mère est sortie de la maternité. Je n'ai jamais crisé ou pleuré pour rien. Je suis née dans le sud du Mexique, mes parents étaient tout deux mexicains et n'étaient pas très riches, j'ai donc du les aider, nous vivions dans une petite ferme dans le petit village que nous occupions. Je suis née le 3 Juillet 1983 et mes parents se sont rencontrés ici-même ils ont grandis ensemble, et s'occupaient de la ferme ensemble et donc étaient du genre inséparables. Ils se mariés avec les moyens qu'ils avaient et l'aide des gens du village, je sais que dit comme ça ça fais très péruvien mais pourtant c'est vraie j'ai des photos. En bref j'ai été conçue ici et je suis née ici, mes parents ont repris la ferme de la famille de mon père, et en ont fait leurs cocons, leurs petits coin de paradis, on avait de tout, des cocons, des poules, des ânes, des chevaux... Les chevaux, je montais dessus quand j'étais petite, c'était ma passion, j'adorais ça et dès que je pouvais j'allais faire des balades dans les champs qui se trouvaient non loin de chez nous. Donc comme vous l'avez remarqués je ne manquais de rien malgré le peux de moyens que nous avions.

Une rencontre, un tournant, une évolution!

Je vivais une vie peinarde et très remplie à la foie, j'allais au marché vendre des fruits vous savez des fraises, des kiwi, des cerises et j'en passe, je pensais pas que ce vendredi là me pourrirait le week-end. En effet alors que je sortais de la voiture les caissons de fruits, sans faire je renversa la panière de fraises sur quelqu'un, j'étais lancée et dynamite et n'avais pas fais attention à ce qui ce passait autour de moi. Quand je relevais la tête c'est une regard froid comme la glace que je trouva, des cheveux coupés court et noir rendait la beauté encore plus glacials de cet homme qui se trouvait de moi. Il portait une chemise blanche, c'était en plein été, et sa chemise était... morte, les fraises... ça tâche.

CAM: Ah bah bravo! Vous savez combien elle ma coûté cette chemise ? Presque 100 dollars!
NAYELI: Je... je suis désolée monsieur, je ne vous avais pas vue, je suis vraiment désolée.

J'étais confuse et gênée fasse à mon acte idiot, il avait de l'allure et même avec de la fraise sur lui je pouvais à l'aide d'une brise d'air fraiche sentir son doux parfum qui vint me titiller les narines. Je ferma un instant les yeux et me laissa vagabonder par la sensation que me procura cette odeur et ne pue me retirer de la tête ce regard bleu si froid...

CAMHEY! Je vous parle! Pour la peine vous me devez un verre! Demain à la même heure je vous attendrais à la terrasse au coin de la rue!

Je sortis de mes pensées et il me lança à ce moment un bout de papier avec un numéro, le sien je suppose. Sur le coup je le jeta, et bien évidemment, le lendemain je devais m'y rendre! j'ai faillis ne pas y aller et c'est d'ailleurs avec 15 minutes de retard que j'arriva... Mais il était là avec ce regard froid.


Cam avait réveillé en moi une partie que je ne connaissais pas, des sensations inconnus, notamment l'amour. Avant lui ce mot, ce sentiment je ne le connaissais qu'à travers les livres aux histoires d'amour à l'eau de rose, vous savez le genre de livre à la Twilight, un amour fusionnel et parfait. Avoir le sentiment de pouvoir marcher sur un fil les yeux fermés pour seul guide la voix de l'être aimé!
Suite à ce rendez-vous forcé et l'incident des fruits, cam a demandé à me revoir, enfin il m'a pas demandé il m'a imposé sa présence en me regardant ranger mes fruits après le marché. Au fil du temps une complicité et un rituel était nez. on allait en haut d'une colline hors porter du monde de brute qui nous entourait, et on s'allongeait dans l'herbe pour fixer les nuages mains dans la mains, tête contre tête comme-ci là où nous étions rien ni personnes pouvait nous atteindre. On s'était construit une prison d'oré, don seul nos coeurs avaient la clef pour nous en sortir, même si on avait en quelque sorte lancé cette clef, car notre univers nous était propre et pure, comme l'amour complexe qu'il y avait entre nous. En effet Cameron connaissait beaucoup sur moi, il avait déjà rencontré mes parents, mais de son côté, j'en connaissais pas beaucoup à part qu'il n'était pas du Mexique, il me parlait jamais de son boulot et encore moins de sa famille.
Jusqu'au jour où le monde, mon monde se renversa, ce fut le début de la fin... Cameron, du jour au lendemain décida de partir, il avait employé ce même ton froid et dur que le premier jour de notre rencontre et m'avait clairement dit qu'il ne voulait plus me revoir. Puis il partit... Il ne m'a jamais dit pourquoi il ne voulait plus de moi et... tout s'enchaîna très vite. A croire que le monde avait décidé d'arrêter de vivre comme mon coeur avait décidé d'arrêter de battre, de se battre.

Quelques mois après le départ de Cameron, le monde devint fous. Un soir alors que je fus réveillé une fois de plus par mes cauchemars incessant, je fus attirer par un drôle de bruit dans ma grange là où les chevaux dormaient la nuit. C'est pieds nues et le coeur battant par la peur de se silence de mort que j'ouvris la porte et vis mes parents totalement zombifiés, ma petite soeur, Louana se ruèrent vers moi, par instinct je me mise à courir et pris la fuite.
Je courus ainsi plusieurs jours en me cachant, c'est à bout de force que je fus obligés de tuer ma famille... comprenant qu'ils n'étaient plus que des bêtes sans âmes et sans foie, la foie les avaient quittés, abandonnées.

Si j'ai survécue à tout ça, c'est parce que j'ai rencontré d'autre personnes comme moi, qui avait tout perdue, à cause de se qui nous tombait sur la tête, le ciel nous tombait dessus. les anges se faisaient la guerres, car dieu nous haïssaient... C'est ce que l'on m'a raconté, je n'y croyais pas jusqu'à ce que j'en vois un de mes propres yeux. J'étais persuadée que j'allais mourir ainsi... dans la folie de l'être humain.

Ce qui nous tue pas, nous rend plus fort.

Rare étaient ceux qui avaient encore espoirs de vivre ou survivre comme vous voulez, j'étais sure de mourir et pourtant j'ai réussis à atteindre Rio De Janeiro. Il n'y avait plus rien que de l'eau autour de Rio De Janeiro, elle était devenue une île, nous avions gagné la guerre, Michel avait crue en nous et nous avais sauvé de l'ange Gabriel. Nous avons passé deux ans à construire l'île et l'a rénover. Cela à créée des liens entre nous, les survivants. ON avait enfin de quoi reprendre une vie normal, après avoir perdus des proches, avoir passé deux ans à re construire une île c'est à dire, construire des bâtiments, trouvé des emplois etc... Nous avions la paix... Enfin vous ne me retirerez pas de la tête que tout ça n'est que le début d'une guerre sans merci, bien pire que la première, car l'ange Gabriel est bien trop fière à mon humble avis pour se laisser battre ainsi et voir une bande d'humain reprendre tout à zéro. Sachant qu'en plus de ça, les humains les plus pures sont souvent élus par les anges pour rejoindre l'armée de l'ange Michel et sont ainsi formés. Mais qui dit que certains ne sont pas du côté obscurs, et aimerait voir la fin de ce monde s'accomplir et avoir tout pouvoir dans le monde des anges qu'est le ciel ?